Le blanc affole et rassure… Quelle est son histoire à travers les âges ?
Le blanc est une nuance claire, sous tous les angles ! L’étymologie du mot provient du terme germanique, “Blank” (qui parle de lui-même), utilisé pour désigner ce qui est brillant, lumineux, éclatant… Au fil des âges, la nuance s’associe à la pureté, la divinité, la virginité, la distinction, voire la richesse. Dans le langage et les traditions populaires, elle fait d’ailleurs l’objet d’expressions courantes ainsi que de coutumes, servant à exprimer le contraire de ce qui déborde, l’inverse de ce qui est sale, l’opposé de ce qui est désordonné, l’antipode de ce qui est trop. “J’ai le syndrome de la page blanche”, disent les écrivains, pour parler de l’inspiration qui s’en est allée. “Blanche-Neige”, est une princesse appelée ainsi, car la jeune femme est aussi pure que la couleur dont on lui a donné le nom. Les mariées s’habillent en blanc, pour signifier qu’elles ont respecté leur vœu de chasteté. Au temps des grecs, être trop blanc signifie que l’on est paresseux, que l’on reste trop… chez soi. Vous l’aurez donc compris, le blanc est pavé de bonnes intentions, mais dans certain cas, il peut aussi faire mauvaise impression. Morale de l’histoire ? Avant d’offrir des fleurs blanches, vérifiez tout de même ce qu’en disent les différentes traditions.